1854.03.23.Du ministre de la Marine et des Colonies.Paris
Origine : Collection de lettres reçues - liasse 1848-1854
Paris, le 23 mars 1854
Ministère de la Marine et des Colonies
Direction du matériel
Bureau des approvisionnements généraux
N°239
Monsieur,
En me rendant compte, le 16 de ce mois, des affrètements que vous avez conclus pour le transport de charbon à Malte, Constantinople et l'Algérie, vous faites connaître les difficultés que vous éprouvez à Cardiff pour l'embarquement d'une quantité aussi considérable de houille par suite du petit nombre de mines admises par la Marine.
Vous demandez en conséquence que, pour vous faciliter vos opérations, je vous autorise à expédier des charbons provenant des mines de Duffryn Powell, Sgyborwen-Merthyr, Fothergill Aberdare, Shepperd-Evans & Blengwan.
Je vous accorde cette autorisation, mais à la condition que les charbons de ces mines que vous expédierez seront d'une qualité équivalente à ceux des mines désignées dans notre marché et que vous vous en porterez garant et responsable.
Veuillez me faire connaître si vous acceptez cette condition.
Recevez, Monsieur, l'assurance de ma parfaite considération.
En me rendant compte, le 16 de ce mois, des affrètements que vous avez conclus pour le transport de charbon à Malte, Constantinople et l'Algérie, vous faites connaître les difficultés que vous éprouvez à Cardiff pour l'embarquement d'une quantité aussi considérable de houille par suite du petit nombre de mines admises par la Marine.
Vous demandez en conséquence que, pour vous faciliter vos opérations, je vous autorise à expédier des charbons provenant des mines de Duffryn Powell, Sgyborwen-Merthyr, Fothergill Aberdare, Shepperd-Evans & Blengwan.
Je vous accorde cette autorisation, mais à la condition que les charbons de ces mines que vous expédierez seront d'une qualité équivalente à ceux des mines désignées dans notre marché et que vous vous en porterez garant et responsable.
Veuillez me faire connaître si vous acceptez cette condition.
Recevez, Monsieur, l'assurance de ma parfaite considération.
Le Ministre Secrétaire d'État de la Marine et des Colonies
Théodore Ducos
A Monsieur H. Worms à Paris