1851.03.19.De Edouard Rosseeuw.A Frédéric Mallet.Le Havre
Origine : Copie de lettres à la presse n°20 - du 21 février 1851 au 31 mars 1851 - page 147
Paris, le 19 mars 1851
Monsieur Mallet
Au Havre
Je possède votre lettre d'hier, et vous confirme la mienne du [...].
Autant que possible, et à moins d'avantage réel pour moi, je préférais donc mon ancienne position, réserver à la maison de Newcastle tous les affrètements : pour lui donner de l'importance, et lui faire gagner ses frais et plus si possible.
En présence de la nouvelle maison, les mêmes raisons et le même intérêt existent encore, mais je n'entends pas m'immiscer dans ses affaires. Vous ferez donc, à l'avenir, ce que vous croirez le mieux dans l'intérêt Hantier & Mallet, seulement vous connaissez mon désir, et vous le satisferez, quand vous croirez que cela ne vous est pas nuisible.
Je comptais vous remettre les actes aujourd'hui - ils n'arrivent pas, au moment du courrier. Ce sera pour demain. Je vous salue sincèrement.
Autant que possible, et à moins d'avantage réel pour moi, je préférais donc mon ancienne position, réserver à la maison de Newcastle tous les affrètements : pour lui donner de l'importance, et lui faire gagner ses frais et plus si possible.
En présence de la nouvelle maison, les mêmes raisons et le même intérêt existent encore, mais je n'entends pas m'immiscer dans ses affaires. Vous ferez donc, à l'avenir, ce que vous croirez le mieux dans l'intérêt Hantier & Mallet, seulement vous connaissez mon désir, et vous le satisferez, quand vous croirez que cela ne vous est pas nuisible.
Je comptais vous remettre les actes aujourd'hui - ils n'arrivent pas, au moment du courrier. Ce sera pour demain. Je vous salue sincèrement.
H. Worms
Rosseeuw