1938.09.Le réveil du Trait.ACSM

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Le réveil du Trait, organe local du parti communiste

Journal mensuel. Le numéro : 25 centimes.

Septembre 1938

Nous défendrons nos conquêtes sociales
Depuis quelques mois la classe ouvrière sentait bien que le gouvernement cédait peu à peu aux injonctions des oligarchies capitalistes. Les 200 familles ont enfin obtenu ce qu’elles voulaient : l’appui du gouvernement dans leur mauvaise besogne. Prenant pour prétexte la défense nationale, M. Daladier, dans un discours retentissant, a manifesté son intention d’attenter au principe des 40 heures et n’a pas tardé de passer aux actes en prenant un décret qui supprime en fait la loi. Comme par enchantement, le président du Conseil a oublié les 200 familles, la doctrine radicale, le serment du 14 juillet et le Front populaire.
D’autre part, le décret de M. Daladier viole la loi et n’a pas été pris en accord avec les organisations ouvrières comme le prévoyait la législation. Estimant cette mesure insuffisante, le chef du gouvernement veut diminuer le taux des heures supplémentaires ce qui est le premier pas vers l’anéantissement des conventions collectives. Après cela, pourquoi les congés payés ne seraient-ils pas une entrave à la production ? Nous voyons trop où veut en venir M. Daladier sous la pression des trusts. Il prépare d’abord le retour du lavalisme dont toute la France laborieuse a souffert ; il prépare ensuite l’avènement du fascisme dont nous connaissons tous les méfaits destructeurs.
Après avoir amputé les conquêtes sociales du Front populaire, M. Daladier veut « remettre la France au travail » comme si ce n’était pas le vœu de la classe ouvrière entière ? La production est insuffisante ? Mais où sont les saboteurs ? Ceux qui refusent les commandes, retardent les livraisons de matières premières, licencient les ouvriers sans raisons valables ? Ceux qui exportent leur or plutôt que de l’utiliser pour l’amélioration des moyens de travail ? M. Daladier qui les connaît n’a pas eu un mot pour eux. La volonté de régression sociale éclate aux yeux. En France, plus de 50 % des ouvriers ne travaillent pas 40 heures ; on compte actuellement plus de 340.000 chômeurs, et, dans la métallurgie, qui n’est pas la plus éprouvée, il y a 11,66 % de chômeurs partiels. Lorsque le chômage sera résorbé et que toutes les usines travailleront au ryhtme des 40 heures, des mesures pourront être envisagées ; la CGT a affirmé depuis longtemps qu’elle saurait participer aux améliorations nécessaires.
Pour le moment, que l’on suive l’exemple de la Fédération des métaux qui a mis sur pied un programme permettant immédiatement d’accélérer la production, mais le gouvernement a passé sous silence ces justes propositions.
Et quel moment M. Daladier choisit-il pour prendre ces mesures iniques ? Il prend celui où les menaces de guerre augmentent. En prétextant les besoins de la défense nationale pour des mesures inutiles envers la classe ouvrière, il brandit l’épouvantail de la guerre.
La défense nationale nous intéresse tous ; il n’y a pas de défense nationale sans le peuple et sans les communistes ce qui n’empêche pas M. Daladier de refuser de répondre à nos camarades de la Commission de l’Armée.
Que les milieux réactionnaires ne chantent pas trop tôt victoire ! M. Daladier a bien senti que la France laborieuse n’est pas prête à céder ; les manifestations, les meetings imposants, enthousiastes et énergiques montrent la vitalité du Front populaire dont l’union s’est resserrée dans ces heures graves. Renforçons cette union, manifestons notre force dans la grande CGT. Tous unis, communistes, socialistes, radicaux fidèles à la parole donnée, syndiqués, démocrates, nous clamerons notre volonté de paix et de liberté, nous saurons faire aboutir la convocation des chambres qui ont leur mot à dire dans cette affaire, nous saurons faire respecter nos 40 heures.
Louis Douay.

2 septembre 1938
Monsieur Legagneux
Secrétaire de l’Union départementale des syndicats ouvriers
Rouen
Mon cher secrétaire général,
Absent de Rouen à partir de demain matin pour huit jours, je tiens à vous donner l’assurance, en raison des nombreux meetings qui se tiennent en ce moment dans les régions ouvrières de la banlieue de Rouen et à Rouen même, que mes amis, notamment MM. Louis Guittet, conseiller général, Dauge, Hardy et Perrier, conseillers d’arrondissements, et moi-même, sommes fermement décidés à ne laisser porter aucune atteinte restrictive à la législation sociale que le Rassemblement populaire a accordé aux masses laborieuses.
Je crois savoir que demain vous assisterez personnellement à un meeting à Barentin. Voulez-vous exprimer en mon nom ces sentiments que partagent mes amis Guittot, Dauge, Hary et Perrier et donner à tous vos auditeurs l’assurance qu’ils pourront toujours en toutes circonstances compter sur mes votes pour le maintien et même pour le développement des conquêtes faites par la classe ouvrière depuis les dernières élections législatives.
Je vous remercie à l’avance et vous prie d’agréer.
André Marie.
Député de la 4e circonscription de Rouen.

Communiqué
L’union locale de Bolbec, Lillebonne et le comité intersyndical du Trait organisait une manifestation contre les atteintes portées aux lois sociales. Les travailleurs se rendirent au lieu de la réunion en manifestant depuis la porte des usines.
Réunis au nombre de 2.000 après avoir entendu les responsables des syndicats locaux, Mallard secrétaire de l’union locale départementale, ils votèrent par acclamations l’ordre du jour suivant :
« Les travailleurs du Trait et des environs, réunis à l’appel de leur union locale et de leur comité intersyndical protestent énergiquement contre les attaques portées à la semaine de 40 heures. Ils considèrent qu’il est absurde de vouloir prolonger la durée du temps de travail alors que nombreuses entreprises chôment actuellement d’une manière partielle ou totale, que le nombre de chômeurs augmente constamment et qu’un sabotage systématique de la production est organisé. Ils demandent que soit mis fin à ce sabotage, qu’il soit procédé à la rééducation professionnelle des chômeurs, que des mesures énergiques soient prises pour faire rentrer les milliards exportés et qu’ils reviennent ainsi alimenter l’économie nationale.
Se déclarent résolus à suivre les mots d’ordre de résistance qui peuvent leur être donnés par leur centrale syndicale. »
À la sortie du meeting les travailleurs manifestèrent à nouveau dans le calme leur volonté de se défendre sans faiblesse contre les attaques du capital.

Ils ont l’physique
Pour conserver nos lois sociales,
Nous étions là, tous réunis
Devant la porte principale,
Nous attendions nos amis.
Mais vraiment, il fallait voir
Quelques employés s’débiner
Ces émules des cagoulards
Passaient en allongeant l’nez
Ils étaient peut-être malades,
Car leur visage n’était pas clair,
Ils vous r’gardaient d’un air mau-
ssade,
En penchant la tête… [illisible] en l’air
Ils avaient sans doute la jaunisse,
Ça ne fait pas l’ombre d’un doute,
De la couleur d’une peau d’saucisse,
D’une saucisse plate… à la choucrou-
te
Nous avons r’marqué cette clique
Il n’y a pas à s’y tromper
Car tous ont vraiment l’physique
De leur emploi… faut pas chercher.
J. Hétais.

Les mensonges de la fiscalité
Les camarades qui ont reçu en mai leur feuille d’impôt sur la contribution mobilière ont constaté, non sans amertume, une augmentation importante par rapport à l’an dernier. Chacun est obligé de voir que les trop fameux 8 % appliqués aux masses par un gouvernement parjure au programme du Front populaire ont été hypocritement multipliés à un coefficient prohibitif. Tandis que la cote mobilière subissait une majoration de 16,5 %, la taxe vicinale fut majorée de 83 %, pas plus !
Sur le plan local, il faut reconnaître que la population du Trait est bien trop imposée. Monsieur le maire du Trait et son conseil municipal invoquèrent pour leur défense un tas d’excuses surannées, mais ils n’empêcheront pas les ouvriers de réfléchir et de faire des rapprochements significatifs.
Ils n’empêcheront pas les ouvriers de constater que les 4/5 au moins du territoire communal sont occupés par deux puissants et riches groupes industriels : les chantiers navals Worms et la Société de la Mailleraye avec leurs filiales. Ils n’empêcheront pas les ouvriers de se dire que si l’effort fiscal de ces deux firmes était normal, leurs charges à eux en seraient notablement diminuées. Et ils auraient raison de penser cela car certaines incohérences le prouvent d’une façon formelle.
Ils n’empêcheront pas les ouvriers de dire à leurs édiles : « vous avez, M. le maire et vous messieurs les conseillers, trouvé dans votre compte administratif un excédent de recettes de 108.440 francs (Journal du Trait du 8 septembre). Au risque, messieurs les mal élus, d’être taxés de « matérialisme sordide », nous ne pouvons croire aux miracles, car nous sommes avant tout des Normands et des gens de bons sens. Mais si par l’effet du pur hasard, votre compte était bon (l’administratif, non le vôtre) point truqué, ni menteur, eh, bien, messieurs, dégrevez-nous l’an prochain, diminuez la charge de nos impôts sous lesquels nous sommes écrasés, faites payer les riches.
Eh oui, messieurs, faites donc un peu payer ceux qui doivent payer. Et puisque nous sommes aujourd’hui en veine de confidences, apprenez pour votre plus grand profit que vous aurez à inscrire au prochain budget 1939, les recettes foncières de 114 maisons ouvrières et 8 villas déclarées par Worms le 4 juillet 192[illisible] ce qui doit représenter déjà une fort jolie somme !
Ainsi doivent parler tous ceux qui portent quelque intérêt à la vie municipale de notre commune.
R. Legendre.

Les chefs du prolétariat
Staline
Staline, le meilleur disciple de Lénine et le continuateur de son œuvre est né en 1879 à Tiflis dans la région de Géorgie. Son père était un modeste ouvrier. En quittant l’école primaire, il entre au séminaire bientôt les études sociologiques lui font délaisser l’enseignement donné, il manifeste même des idées telles qu’il est chassé du séminaire à 18 ans.
Il prend sa place dans les rangs ouvriers. Aussitôt, il milite activement dans le parti social-démocrate d’alors ; son travail le fait remarquer et l’amène rapidement à un poste important de dirigeant. La police a repéré aussi ce trop actif militant, elle le poursuit et le traque, l’obligeant à vivre 16 ans dans la rude école révolutionnaire de l’illégalité. Mais Staline continue, il fonde des groupes ouvriers, participe aux grèves et aux manifestations. À 23 ans, il subit sa première peine de prison et l’exil en Sibérie d’où il s’évade.
Revenu au milieu des sociaux-démocrates, il trouve le parti divisé en deux grandes tendances et prend position pour les bolchéviks. En 1905, à l’occasion d’un congrès bolchévik, il fait la connaissance de Lénine, celui-ci reconnaît la valeur de Staline et dès lors les deux hommes s’uniront à la tête du combat.
Revenu dans son pays, au milieu du centre ardemment révolutionnaire de l’exploitation du pétrole de Bakou, Staline poursuit une propagande acharnée. La police finit par le saisir. Il est emprisonné puis envoyé de nouveau en Sibérie. Il a alors 30 ans. Il s’évade de l’exil et subira de nouvelles condamnations. La révolution de février 1917 le libérera définitivement. Il retrouve Lénine ; unis très étroitement les deux chefs qui assurent le travail intense qui permettra le succès de la révolution bolchévique.
De militants vivants dans l’illégalité, Lénine et Staline deviennent dirigeants d’un gouvernement. Les responsabilités sont lourdes et les ennemis du nouveau régime nombreux. La guerre civile éclate, soutenue par l’intervention étrangère où se place la glorieuse mutinerie de la Mer noire dirigée par notre camarade André [illisible]. Plus d’une fois la situation est tragique ; à ce moment Lénine dit « Il n’y a qu’un homme qui peut sauver la situation, c’est Staline, qu’il faut envoyer sur place, dans l’armée, avec pleins pouvoirs ». Et la clairvoyance, le sang-froid, l’esprit de décision de Staline apportent la victoire.
En 1920, la guerre terminée, il faut reconstruire l’Union soviétique, c’est encore l’œuvre de nos deux grands camarades. En 1923, Staline devient secrétaire du comité central de parti communiste. À la mort de Lénine [illisible].
Communistes, nous sommes fiers de ce guide et nous souhaitons que sa main ferme tienne encore longtemps le gouvernail.
Louis Douay.

Avis
Nous avons le devoir d’informer les membres de la cellule du Trait que le camarade Rigal a été exclu du parti communiste. Nous mettons en garde les membres de la cellule et de la section du Trait contre les agissements équivoques du camarade Rigal.
Le bureau de la cellule.

Jeunes ! Lisez, faites lire l’avant-garde, le journal de la jeunesse.

Comité des femmes
Le comité des femmes s’est réuni le 10 septembre salle Leroy. Il a voté l’ordre du jour suivant.
1° Ouverture d’un atelier de couture pour jeunes filles ;
2° Organisation d’un arbre de noël ;
3° Organisation d’une matinée théâtrale au bénéfice des familles nécessiteuses ;
4° Collectage en faveur de l’Espagne républicaine ;
Cet ordre du jour fut accepté à l’unanimité.
Le secrétaire.

La vie du parti
Le comité central du parti communiste attache la plus grande importance à l’éducation marxiste-léniniste des membres du parti et en particulier à la formation des cadres en fonction du nombre grandissant de ses membres. La section du Trait a été chargée de reprendre les cours de l’école de cadres professés au Trait et en Seine-Inférieure par de dévoués camarades. Ces cours, au nombre de 13 seront donc développés dans les cellules du Trait, Bolbec et Lillebonne à raison d’un par semaine.
Les camarades communistes qui ont la ferme volonté de suivre ces cours jusqu’au bout sont donc invités à venir s’inscrire dès à présent. L’école de cadres fonctionnera en octobre. Elle enseignera aux militants les cours suivants :
- Socialisme antique,
Féodalité : Douay.
- 1789 à 1815 : Legendre.
- 1815 à 1870 : Aumasson.
- La Commune, l’Etat : Douay.
- 1870 à 1917 – mouvement ouvrier français : Legendre.
- La révolution russe : R. Talbot.
- Construction du socialisme : Aumasson.
- Le trotskisme : Legendre.
- Le fascisme et le Front populaire : Douay.
- Le parti et la paix : Aumasson.
- L’unité politique et le parti socialiste : R. Talbot.
- Le syndicalisme : Legendre.
- Le PC – base d’organisation du PC : Douay.
Le bureau de cellule.

Fraternisons
Camarades ouvriers, techniciens,
Si je fais ce petit poème
C’est que je voudrais voir unis de-
main
Tous les salariés du chantier même
Car nous avons bien qu’antan
Le patron faisait pour régner
Dans le chantier, des mécontents,
Pour faire naître l’animosité
Mais aujourd’hui pourquoi se jalouser
Si nous luttons, c’est pour une cau-
se
Allons, il faut fraterniser
Nous devons croire à autre chose,
Évitons surtout les mouchardages
Qui arrivent toujours à mal faire
Celui qui fait ces clapotages
Préfère calomnier que de se taire
N’avons-nous pas assez à lutter
Contre quiconque veut nous léser
Contre ces gens qui sont buttés
Et restent sourds, pour nous lasser
Marchons tous à l’unisson
Serrons-nous et chantons en chœur,
Ce qui devrait donner le frisson
À ces tristes calomniateurs
Nous voulons vivre, nous avons le
Droit.
Fiers et libres, pourquoi pas !
On donne nos bras à la production
Elle devrait être fière de nous la
Nation.
H. Le Cloirec.

Au secrétariat de mairie
En dépit de notre article paru dans le dernier numéro du Réveil concernant le secrétaire de mairie, la mauvaise humeur de celui-ci, loin de se calmer redouble contre les gens qui viennent lui demander un renseignement.
Rigaux, cantonnier et père de famille nombreuse qui demandait à bénéficier de la loi sur les congés payés a été en lutte à la jalousie agressive du secrétaire de mairie qui ne trouva rien de mieux que de détériorer le livret de travail de cet humble serviteur ;
Langevin, ouvrier du chantier et également père de famille nombreuse est l’une des dernières victimes de cet irascible personnage ;
Nous disions en toute sérénité que le secrétaire de mairie aurait de bonnes raisons à se montrer moins rébarbatif. Nous ne désirons intimider qui que ce soit, mais si l’on ne peut tout écrire ici, il n’en est pas moins vrai que le passé accablant du secrétaire de mairie justifierait des mesures énergiques de la part de la municipalité du Trait. Sous le fallacieux prétexte de ne pas « avoir d’histoire » (c’est le mot textuel d’un des adjoints), le secrétaire de mairie bénéficie d’une complaisance lourde de suspicions et il est, de plus, maintenu à son poste au moyen d’un accord tacite. Hors de la mairie les provocateurs !
À la porte, les insulteurs d’honnêtes gens !
R. Legendre.

Avis
Le comité des femmes ouvre un atelier de couture salle Leroy, le jeudi 6 octobre.
Les parents désirant faire inscrire leurs enfants sont priés de s’adresser chez madame Larchevêque rue du commandant Guilbaud et chez madame Girot, pavillon Duquesne.

Avis
Le camarade René Piriou, voulant quitter sa maison hantée par les accidents serait reconnaissant aux camarades qui voudraient bien l’aider à rechercher aux environs un logement de 2 ou 3 pièces.
Il les en remercie à l’avance.
René Piriou.

Le réveil du Trait est votre journal.
Envoyez-lui vos revendications.

Lisez chaque jour L’avenir normand.

Travailleurs, lisez L’humanité.

Dont acte
Nous avons été autorisés à publier la lettre envoyée par M. André Marie notre député au secrétaire de l’U.S. notre camarade Legagneux. Enregistrons avec satisfaction le complet désaccord et le désaveu de M. André Marie et des autres élus radicaux du Front populaire, MM. L. Guittet, conseiller général, Hardy, Dauge et Perrier, conseillers d’arrondissement, avec le président Daladier qui s’est rendu tristement célèbre en prenant des mesures draconiennes contre nos 40 heures sous prétexte de « remettre la France au travail ». Qu’ils en soient ici remerciés.
R. Legendre.

Petites annonces.

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Cumuls
Des petits commerçants et de nombreux camarades nous ont demandé de mener une campagne active contre les cumuls et le travail noir. Étant donné l’importance des sujets que nous avions à traiter dans le présent numéro, nous n’avons pu à notre grand regret, leur donner satisfaction. Nous leur donnons toutefois l’assurance de traiter bientôt de la question qui leur tient à cœur et nous leur demandons un peu de patience.
La rédaction.

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