1852.12.15.A A. Grandchamp Fils.Rouen.Extrait
Origine : Copie de lettres à la presse n°38 - du 16 novembre 1852 au 14 décembre 1852
A la suite du texte des lettres envoyées à MM. Grandchamp Fils et à Chabert
le 1er décembre 1852
Lettre à Grandchamp Fils Dieppe/Rouen du 15 décembre 1852
Tout ce que vous me dites au sujet des hélices et des calculs que vous établissez, me confirme de l'opinion que j'ai depuis longtemps que [c'est] le mode de transport que nous finirons par adopter, mais comme vous me le dites nous devons encore étudier, réfléchir et surtout compléter en Angleterre nos renseignements. Je trouverais donc inopportune aujourd'hui une entrevue avec le constructeur de [Denis] car elle ne pourrait être sérieuse en effet.
Vous pouvez donc dire à M. Denis ce qu'il en est réellement ; que nous pensons sérieusement à pareille affaire mais que le moment n'est pas venu de la mettre en oeuvre ; que, cependant, vers la fin de janvier, nous serons probablement en mesure de prendre une décision et d'agir. Du reste je n'en soufflerai mot à personne.
Vous pouvez donc dire à M. Denis ce qu'il en est réellement ; que nous pensons sérieusement à pareille affaire mais que le moment n'est pas venu de la mettre en oeuvre ; que, cependant, vers la fin de janvier, nous serons probablement en mesure de prendre une décision et d'agir. Du reste je n'en soufflerai mot à personne.