1852.02.18.Aux Messageries nationales.Paris
Origine : Copie de lettres à la presse n°29 - du 1er février 1852 au 18 mars 1852 - page 419
Paris, le 18 février 1852
Messieurs les administrateurs de la Compagnie des Messageries nationales
En ville
J'ai l'honneur de vous exposer que, en vue des livraisons charbons que j'espérais vous faire dans le port de Marseille, j'y avais fait diriger quelques cargaisons charbon de Newcastle et une de Cardiff, ensemble 7 à 800 tonnes.
Aujourd'hui, ces charbons sont sans emploi pour moi, et je viens, à titre d'obligeance de votre part, vous prier de vous en charger sans léser les intérêts de votre Compagnie.
Dans ce but, je vous propose de, chaque fois que vous ne trouverez pas à faire des achats avantageux de navires en débarquement dans le port de Marseille, recevoir de moi, au fur et à mesure de vos besoins, mes charbons que je vous livrerai, selon l'usage, le long de vos vapeurs, au prix de F 30 les 0/00 k.
L'acceptation de ma proposition sera pour moi un véritable service.
Agréer, Messieurs, mes salutations empressées.
Aujourd'hui, ces charbons sont sans emploi pour moi, et je viens, à titre d'obligeance de votre part, vous prier de vous en charger sans léser les intérêts de votre Compagnie.
Dans ce but, je vous propose de, chaque fois que vous ne trouverez pas à faire des achats avantageux de navires en débarquement dans le port de Marseille, recevoir de moi, au fur et à mesure de vos besoins, mes charbons que je vous livrerai, selon l'usage, le long de vos vapeurs, au prix de F 30 les 0/00 k.
L'acceptation de ma proposition sera pour moi un véritable service.
Agréer, Messieurs, mes salutations empressées.
Hte Worms