1852.01.07.De John Cauchois.New York.Original
Origine : Collection de lettres reçues - liasse 1848-1854
New York, 7 janvier 1852
M. Hte Worms
Paris
Mon cher Monsieur,
J'ai eu l'avantage de vous écrire en date du 15 novembre 1851 par le steamer "Canada", dont ci-après est le duplicata de ma dite lettre, vous priant de me répondre immédiatement. Le "Canada" est de retour depuis longtemps, de même que le "Franklin" par lequel j'espérais une lettre de vous. Le capitaine [Wottosc] vient de me dire que vous aviez dit à M. Iselin que vous n'aviez reçu aucune lettre de moi relativement à l'affaire charbon dont vous m'aviez chargé. Il faut que ma lettre se soit égarée en France, ce qui me met dans une fausse position vis-à-vis de ceux que j'avais entretenus à ce sujet. Veuillez donc me répondre aussitôt réception de la présente pour que je puisse remplir mes engagements ici déjà pris pour vous d'après vos instructions et votre lettre qui m'autorisait à agir pour vous et en votre nom. C'est une affaire qui pourrait devenir de quelque importance, tant pour vous que pour moi. J'attends donc votre réponse avec impatience et vous prie de croire que je puis conduire cette affaire à bonne fin.
Recevez mes salutations empressées.
J'ai eu l'avantage de vous écrire en date du 15 novembre 1851 par le steamer "Canada", dont ci-après est le duplicata de ma dite lettre, vous priant de me répondre immédiatement. Le "Canada" est de retour depuis longtemps, de même que le "Franklin" par lequel j'espérais une lettre de vous. Le capitaine [Wottosc] vient de me dire que vous aviez dit à M. Iselin que vous n'aviez reçu aucune lettre de moi relativement à l'affaire charbon dont vous m'aviez chargé. Il faut que ma lettre se soit égarée en France, ce qui me met dans une fausse position vis-à-vis de ceux que j'avais entretenus à ce sujet. Veuillez donc me répondre aussitôt réception de la présente pour que je puisse remplir mes engagements ici déjà pris pour vous d'après vos instructions et votre lettre qui m'autorisait à agir pour vous et en votre nom. C'est une affaire qui pourrait devenir de quelque importance, tant pour vous que pour moi. J'attends donc votre réponse avec impatience et vous prie de croire que je puis conduire cette affaire à bonne fin.
Recevez mes salutations empressées.
John Cauchois
34, Charles Street, New York
[Duplicata en pages 2 et 3 de la lettre du 15 novembre 1851]