1849.07.02.A Arthur Pring.Newcastle.Extrait
Origine : Copie de lettres à la presse n°6 - du 3 avril 1849 au 14 juillet 1849 - page 96
Quant au charbon Lambton, voyez vite M. Todd pour savoir s'il peut nous en vendre et pour la vallée et Rouen et pour Le Havre, et quelles seraient ses conditions. Dites à ce Monsieur que je suis déjà bien placé dans la vallée et Rouen et que je commence à bien me placer au Havre, que je veux atteindre à la haute consommation de ces pays, que par conséquent, il faut qu'il me donne son dernier, dernier prix. Faites en un mot vis-à-vis de lui ce que vous avez fait avec Monsieur Cruzel auprès de l'agent du marquis de Londonderry pour le Stewarts-walls-end qui, par parenthèse, n'est pas convenable à ma clientèle.
A vous, je vous dirai que Monsieur [...] de Rouen a été atteint d'une attaque de paralysie et que ses affaires probablement en souffriront beaucoup.
Je ne souhaite de mal à personne, mais si Monsieur M... laisse aller sa clientèle, mes agents plutôt que d'autres devront en profiter.
Je recommande à vos bons soins l'affaire Dobson.
Agréez, Monsieur, mes salutations cordiales.