1850.03.04.A MM. William Morgan Davies.Cardiff
Origine : Copie de lettres à la presse n°11 - du 1er mars 1850 au 5 avril 1850
Paris, le 4 mars 1850
Messieurs William, Morgan Davies
à Cardiff
Messieurs William, Morgan Davies
à Cardiff
N'ayant pas reçu de réponse à ma lettre du 22 février dernier et craignant qu'elle soit égarée, je viens vous en donner copie, Messieurs, en vous confirmant son contenu.
Je ne puis encore faire usage de la lettre que vous m'avez remise pendant mon séjour dans votre ville. La Compagnie des bateaux à vapeur du Havre à New York, n'ayant pas encore pris de décision, mais cela sera terminé dans 15 jours, je pense. Je vous en écrirai.
En attendant, veuillez affréter de suite au mieux pour le fret, deux petits navires anglais ou français de chacun 100 tonnes ou au-dessous, pour le Havre, que vous chargerez :
1° l'un avec du charbon de M. Wood ;
2° l'autre avec du charbon de M. Powell (ce dernier n'est-il pas nommé le Duffryn ?).
Vous remettrez le connaissement à mon nom à M. M. Goudchaux & Cie Londres, 13 Birchin lane, sur lesquels vous vous rembourserez à vue, pour mon compte, du montant de vos débours.
Je ne vous dis rien pour les prix et escompte, mais je me réserve de vous faire mes observations si vous ne me traitez pas bien.
Je vous rappelle aussi que des courtiers de votre place m'offrent la remise de 2 ½ pour cent sur le fret.
Le charbon, que je vous demande, est du gros charbon pour bateaux à vapeur.
J'attends vos avis et vous salue bien sincèrement.
Je ne puis encore faire usage de la lettre que vous m'avez remise pendant mon séjour dans votre ville. La Compagnie des bateaux à vapeur du Havre à New York, n'ayant pas encore pris de décision, mais cela sera terminé dans 15 jours, je pense. Je vous en écrirai.
En attendant, veuillez affréter de suite au mieux pour le fret, deux petits navires anglais ou français de chacun 100 tonnes ou au-dessous, pour le Havre, que vous chargerez :
1° l'un avec du charbon de M. Wood ;
2° l'autre avec du charbon de M. Powell (ce dernier n'est-il pas nommé le Duffryn ?).
Vous remettrez le connaissement à mon nom à M. M. Goudchaux & Cie Londres, 13 Birchin lane, sur lesquels vous vous rembourserez à vue, pour mon compte, du montant de vos débours.
Je ne vous dis rien pour les prix et escompte, mais je me réserve de vous faire mes observations si vous ne me traitez pas bien.
Je vous rappelle aussi que des courtiers de votre place m'offrent la remise de 2 ½ pour cent sur le fret.
Le charbon, que je vous demande, est du gros charbon pour bateaux à vapeur.
J'attends vos avis et vous salue bien sincèrement.
H. Worms