1850.09.25.A Edouard Rosseeuw.Cardiff.Original
Courrier original
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Monsieur Rosseeuw
Chez M. Thomas Powell
Cardiff
Paris, le 25 septembre 1850
Je vous confirme ma lettre d'hier qui portait £ 404.0.2 inclus la moitié de la banknote de 100 £ qu'elle vous remettait.
J'ai reçu votre lettre du 23 de Newcastle avec charte-partie pour Dieppe. J'écris aujourd'hui à Pring que, s'il ne trouve pas pour ce port du fret à 8.5, qu'il ait à prendre un remplacement de navire pour Rouen à 10.15. A ce dernier prix nous avons encore un léger avantage sur le fret pour Dieppe à 8.5. par la vallée. J'ai une lettre de Bravet qui m'annonce que tout le Newcastle qui dépassera 1.500 tonnes il le mettra en magasin. Il a à [60 T] jour complété la livraison aux Postes et il m'a[vise] un reliquat de livraison pour dans quelques jours.
Quant au Cardiff, il lui reste à livrer 38.800 kilos et il espère faire patienter M. [Rénard] jusqu'à l'arrivée de la 'Nouvelle [Désirée]' pour compléter.
Je suis allé aux informations pour les bateaux anglais qui portent la malle de l'Inde. Je n'ai rien de plus à vous dire que ce que contenait ma lettre d'hier. La Compagnie péninsulaire n'a personne à Marseille puisque, jusqu'à présent, elle n'avait aucun service sur ce point. Vous saurez à Cardiff comment il faut vous y prendre pour arriver à ces Messieurs de la manière la plus convenable pour réussir. Hollander m'a dit que le bateau anglais qui porte la malle de l'Inde achetait son charbon à celui qui le lui vendait le plus avantageusement et qu'il n'avait pas de fournisseur attitré.
J'attends vos lettres et vous présente mes amitiés.
J'ai reçu votre lettre du 23 de Newcastle avec charte-partie pour Dieppe. J'écris aujourd'hui à Pring que, s'il ne trouve pas pour ce port du fret à 8.5, qu'il ait à prendre un remplacement de navire pour Rouen à 10.15. A ce dernier prix nous avons encore un léger avantage sur le fret pour Dieppe à 8.5. par la vallée. J'ai une lettre de Bravet qui m'annonce que tout le Newcastle qui dépassera 1.500 tonnes il le mettra en magasin. Il a à [60 T] jour complété la livraison aux Postes et il m'a[vise] un reliquat de livraison pour dans quelques jours.
Quant au Cardiff, il lui reste à livrer 38.800 kilos et il espère faire patienter M. [Rénard] jusqu'à l'arrivée de la 'Nouvelle [Désirée]' pour compléter.
Je suis allé aux informations pour les bateaux anglais qui portent la malle de l'Inde. Je n'ai rien de plus à vous dire que ce que contenait ma lettre d'hier. La Compagnie péninsulaire n'a personne à Marseille puisque, jusqu'à présent, elle n'avait aucun service sur ce point. Vous saurez à Cardiff comment il faut vous y prendre pour arriver à ces Messieurs de la manière la plus convenable pour réussir. Hollander m'a dit que le bateau anglais qui porte la malle de l'Inde achetait son charbon à celui qui le lui vendait le plus avantageusement et qu'il n'avait pas de fournisseur attitré.
J'attends vos lettres et vous présente mes amitiés.
Hypte Worms