1848.12.10-11.A Arthur Pring.Taunton
Origine : Copie de lettres à la presse n°4 - du 28 juin 1848 au 26 janvier 1849
(volume manquant dans les archives) -
[Vers le 10 ou le 111] décembre 1848
Monsieur Arthur Pring
à Taunton
Je vois avec plaisir par votre lettre du 5 de ce mois que vous acceptez les conditions que je vous ai posées par ma dernière lettre.
Quoique le moment ne soit pas encore venu de donner beaucoup d'importance à ma nouvelle entreprise dans cette saison de l'année où les frets sont encore trop chers, je pense que votre présence à Newcastle pourra devenir nécessaire pour vous mettre au courant des affaires que vous serez appelé à traiter pour moi. Je viens vous prier de vous rendre à Newcastle de manière à y arriver vers le 15 de ce mois. Vous trouverez à votre arrivée vos instructions, poste restante.
Veuillez à votre passage à Londres voir MM. Goudchaux & Cie. Je leur donne ordre de vous compter £ 25, qui devront vous servir à payer vos frais de voyage et pour le surplus vous le porterez en compte. Je ne doute pas que mes affaires avec l'Angleterre prendront de l'importance par suite et qu'à l'expiration des premiers six mois votre position devra s'améliorer.
Prévenez-moi de votre départ, et agréez mes salutations...
Quoique le moment ne soit pas encore venu de donner beaucoup d'importance à ma nouvelle entreprise dans cette saison de l'année où les frets sont encore trop chers, je pense que votre présence à Newcastle pourra devenir nécessaire pour vous mettre au courant des affaires que vous serez appelé à traiter pour moi. Je viens vous prier de vous rendre à Newcastle de manière à y arriver vers le 15 de ce mois. Vous trouverez à votre arrivée vos instructions, poste restante.
Veuillez à votre passage à Londres voir MM. Goudchaux & Cie. Je leur donne ordre de vous compter £ 25, qui devront vous servir à payer vos frais de voyage et pour le surplus vous le porterez en compte. Je ne doute pas que mes affaires avec l'Angleterre prendront de l'importance par suite et qu'à l'expiration des premiers six mois votre position devra s'améliorer.
Prévenez-moi de votre départ, et agréez mes salutations...
Hyppte Worms
[1 La date n'est pas précisée sur la copie ; elle a été déduite des informations données dans le courrier envoyé à M. Goudchaux & Cie, Londres, le 11 décembre 1848.]